Les bilans de santé gratuits

Si le système de sécurité sociale permet de nombreux remboursements sur vos dépenses de santé, sachez également qu’il existe des possibilités de soins gratuits.

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Les bilans de santé s’appellent dorénavant les examens de prévention en santé. Vous y avez droit dès lors que vous dépendez du régime général de la sécurité sociale. C’est l’occasion de faire un point sur votre santé et de poser vos éventuelles questions.

Où réaliser son examen de prévention en santé ?

Les Caisses Primaires d’Assurance Maladie (CPAM) proposent ces bilans de santé gratuits. Vous pouvez faire une demande en contactant votre CPAM directement sur le site Améli, via votre compte. Vous devrez par la suite remplir une demande d’inscription puis vous recevrez votre convocation.

L’examen de prévention en santé se déroule généralement dans un CES (Centre d’Examens de Santé). Il dure environ 2h30. Un entretien final permet de faire le point sur votre santé et d’envisager d’autres examens si nécessaire.

Bon à savoir : aucun soin n’est réalisé durant l’examen de prévention en santé.

Si vous souhaitez avoir plus d’informations sur ce bilan de santé, vous consulter le site Ameli.

Les bilans de santé pour les étudiants

Si vous êtes étudiant, vous aurez droit à un examen de prévention en santé lors de votre première année universitaire. En effet, ce bilan est géré par le SUMPPS (Service Universitaire de Médecine Préventive et de Promotion de la Santé), présent sur chaque campus.

Certaines consultations sont d’ailleurs gratuites dans ces services. Vous pouvez par exemple vous y rendre pour arrêter de fumer, pour vous faire dépister ou pour une aide psychologique.

Et pour les autres étudiants ? Rapprochez-vous de l’infirmier-ère de votre établissement. Vous connaîtrez ainsi les démarches à suivre pour avoir droit à ce bilan de santé et à des consultations gratuites.

Les étudiants relais-santé

Ils sont présents sur certains campus pour vous offrir un premier niveau d’information. Vous pouvez leur poser des questions ou suivre leurs campagnes de sensibilisation !  En effet, il est parfois plus simple et rassurant de s’adresser à eux en premier lieu.