L’année de césure internationale pendant ou après ses études

Si l'on est étudiant, on retrouve les mêmes dispositifs de mobilité que pour les bacheliers, auxquels s'ajoutent d'autres possibilités qui demandent un peu plus d'autonomie et de préparation.

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Une césure internationale via des programmes ou dispositifs « encadrés »

• En tant que jeune volontaire dans le cadre du Corps Européen de Solidarité. Ce programme de l’Union européenne permet de partir travailler dans une association d’un pays européen.
• Dans le cadre d’un Service civique un peu partout dans le monde.
• Tout simplement comme jeune au pair pour celles et ceux qui apprécient la vie en famille.

Retrouve le détail de ces possibilités sur notre page dédiée : l’année de césure internationale Parcoursup.

Des possibilités demandant plus d’autonomie

A ces mobilités plutôt « encadrées », s’ajoutent d’autres formes de mobilités qui requièrent un peu plus d’autonomie ou de préparation.

• Le Permis Vacances Travail (PVT) est un visa particulier qui permet aux jeunes français.es de voyager dans 17 pays dans le monde (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Japon…) tout en étant autorisés à travailler pour subvenir à leurs besoins pendant leur séjour. Retrouve notre info spécial PVT.
• Il y a aussi la possibilité de partir pour trouver un job. En Europe, la démarche est plus facile car en tant que jeune européen il est possible de travailler dans n’importe quel pays de l’UE avec sa simple carte d’identité. Hors Europe, les choses se compliquent un peu, mais il existe des opportunités selon les pays. Comment trouver des offres de jobs ? Comment faire sa propre prospection ? Retrouve tous nos conseils sur notre page d’info « Trouver un job à l’étranger ».
• Un certain type de missions de solidarité internationale sont accessibles, même si l’on a pas de formation très spécialisée. Des organisations proposent à un public étudiant, des missions partout dans le monde, d’une durée de quelques mois. Bien souvent, pour participer à ces missions, il est demandé des frais d’adhésion et de participation au projet. Attention à bien s’informer face à la multitudes de propositions que l’on peut trouver en ligne. Inutile de contacter les grandes ONG de solidarité internationale qui recherchent des candidats sur des mission de longue durée, titulaires de diplômes et d’expériences bien spécifiques (logistique, agronomie, gestion de projets, médical, éducation…).